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Roch-Olivier Maistre,
Président du Conseil d’administration
Laurent Bayle,
Directeur général
Solistes de l’ensemble intercontemporain
Dans le cadre du cycle L’œuvre ouverte
’ensemble in
Vous avez la possibilité de consulter les notes de programme en ligne, 2 jours avant chaque concert, à l’adresse suivante : www.citedelamusique.fr
Cycle L’œuvre ouverte
Libres explorateurs de tous les possibles, laissant venir ce qui doit venir : de Cage au free-jazz en passant par la caméra ixe d’Andy Warhol, bien des artistes ont tenté de saisir l’ouvert.
C’est justement Andy Warhol qui est au centre du premier concert de ce cycle. L’artiste expérimental Scanner, alias Robin Rimbaud, travaille sur la voix de Warhol issue de ses interviews. Il fait émerger des espaces vides, des hésitations et des respirations nécessaires à la construction – parfois à partir d’un simple « euh » – d’un univers sonore. Des images projetées accompagnent cette performance, donnant à voir l’expression warholienne de l’ennui et sa fascination du détail. Quant à Dean & Britta, issus du groupe de rock indépendant Luna, ils inventent une bande-son pour les screen tests auxquels Warhol soumettait ses visiteurs, connus ou anonymes : le résultat de deux minutes quarante était ensuite projeté au ralenti ain d’en obtenir quatre.
Le pianiste Cecil Taylor a révolutionné le jazz en libérant l’improvisation des conventions en vigueur : il est, avec Ornette Coleman, l’un des créateurs du free-jazz. Il dit de lui-même qu’il tente d’« imiter au piano les sauts dans l’espace que fait un danseur ». Cette approche gestuelle confère à son jeu une ininie variété d’accents et de textures : clusters avec le poing ou l’avant-bras, glissandos, rythmes apériodiques sont notamment devenus ses signatures sonores. Lui-même poète à ses heures, Cecil Taylor invite sur scène l’écrivain et homme de théâtre Amiri Baraka (de son vrai nom LeRoi Jones), auteur d’études marquantes sur le blues et militant marxiste pour la cause noire.
Pour leur concert, les solistes de l’Ensemble intercontemporain ont imaginé une manière inattendue de redonner à entendre aujourd’hui le concept d’œuvre ouverte : « Et si nous changions le rapport entre le public et les musiciens, et même la disposition de la salle en la vidant partiellement de ses fauteuils ? ». Laisser le choix à l’interprète de l’ordre des séquences qu’il joue (Domaines de Boulez), faire intervenir l’aléa (Maderna), adopter une notation musicale relative et non plus absolue (Aria de Cage)… : autant de démarches compositionnelles qui permettent à chaque interprétation – toujours unique – de révéler l’étendue des possibilités de ces œuvres.
Il en est de même pour les œuvres de Cage, Stockhausen et Boulez interprétées lors du dernier concert du cycle par le jeune pianiste inlandais Paavali Jumppanen, connu notamment pour son intégrale des sonates de Boulez. John Cage compose en efet sa Music of Changes en utilisant un livre d’oracles chinois, le I Ching, pour tirer au sort chacun des paramètres musicaux : hauteurs, durées, dynamiques, tempo. Boulez, qui rencontre Cage à Paris à la in des années quarante et entretient avec lui une longue correspondance qui durera jusqu’en 1954, écrit sa Troisième Sonate en 1956. Dans ce « labyrinthe à plusieurs circuits », l’interprète a la liberté d’emprunter des « bifurcations surveillées ». La même année, Stockhausen compose son Klavierstück XI dans lequel le pianiste peut circuler à sa guise entre dix-neuf fragments disposés sur une page.
DU MARDI 19 AU SAMEDI 30 AVRIL
MARDI 19 AVRIL – 20H
JEUDI 28 AVRIL – 20H
SAMEDI 30 AVRIL – 11H
ConCErT éDuCATiF

Première partie :
Les œuvres ou extraits seront
interprétés dans l’ordre suivant :
Scène ouverte
John Cage
Œuvres de John Cage, Bruno
Maderna, Karlheinz Stockhausen
Deuxième partie :
Karlheinz Stockhausen
Solistes de l’Ensemble
György Ligeti
intercontemporain
Clement Power, direction
Dean & Britta
Bruno Maderna
Valérie Philippin, voix
Michael Dean Wareham, chant,
Frédéric Stochl, mise en forme
Klaus Huber
Britta Phillips, chant, basse, claviers
Matthew Sumrow, claviers, guitare
Bruno Maderna
SAMEDI 30 AVRIL – 15H
Anthony LaMarca, basse, guitare,
Dieter Schnebel
Visible Music I
John Cage et l’œuvre ouverte
Francesco Filidei
MERCREDI 20 AVRIL – 20H
15h : projection
Mauricio Kagel
Archives de John Cage commentées
Diction & Contra-diction
par Jean-Yves Bosseur
Cecil Taylor, conception, piano et
Pierre Boulez
16h : table ronde
Animée par Philippe Albèra
Amiri Baraka, poésie et texte
Avec la participation de Carmen Pardo
Solistes de l’Ensemble
Salgado, Jean-Yves Bosseur, Laurent
intercontemporain
Feneyrou, musicologues
Clement Power, direction
Valérie Philippin, voix
17h30 : concert
Frédéric Stochl, mise en forme
Karlheinz Stockhausen
Klavierstück XI (Première exécution)
John Cage
Music of Changes (Livres I et III)
Karlheinz Stockhausen
Klavierstück XI (Deuxième exécution)
Pierre Boulez
Sonate n° 3
Paavali Jumppanen, piano
JEUDI 28 AVRIL 2011 – 20H
Salle des concerts
Les musiciens interpréteront les œuvres ou extraits des œuvres suivantes :
John Cage (1912-1992)
Aria, pour voix (1958)
Karlheinz Stockhausen (1928-2007)
Klavierstück X, pour piano (1954-1961)
György Ligeti (1923-2006)
Dix pièces, pour quintette à vent (1968)
Bruno Maderna (1920-1973)
Viola, pour alto (1971)
Klaus Huber (1924)
Ein Hauch von Unzeit III, pour efectif variable (1972)
Bruno Maderna
Sérénade pour un satellite, pour ensemble (1969)
Dieter Schnebel (1930)
Visible Music I, pour un exécutant et un chef (1960-1962)
Francesco Filidei (1973)
Toccata, pour piano ampliié (1995-1996)
Mauricio Kagel (1931-2008)
Ludwig van, pour ensemble (1969)
entracte
Pierre Boulez (1925)
Domaines, pour clarinette et ensemble (1968)
Valérie Philippin, voix
Sophie Cherrier, lûte
Philippe Grauvogel, hautbois
Alain Damiens, clarinette
Alain Billard, clarinette basse
Pascal Gallois, basson
Jens McManama, cor
Samuel Favre, marimba
Dimitri Vassilakis, piano
Frédérique Cambreling, harpe
Jeanne-Marie Conquer, violon
Christophe Desjardins, alto
Pierre Strauch, violoncelle
Ensemble intercontemporain
Clement Power,
direction
Frédéric Stochl, mise en forme
Technique Ensemble intercontemporain : Frédéric Prin et nicolas Berteloot
Benoît Payan,
régie lumière
Coproduction Cité de la musique, Ensemble intercontemporain.
Fin du concert vers 21h30.
Extrait de la partition de Visible Music I de Dieter Schnebel B. Schott’s Söhne, Mainz, 1971 - Printed in Germany Illimité
Joue un sonAvec la certitudeQue tu as tout le temps et toute la place Développée dès les années cinquante, la poétique de l’œuvre ouverte a donné lieu à diférents qualiicatifs, non sans quelque confusion. Pour traduire divers degrés de variabilité, du plus réduit au plus grand, on pourrait proposer : « aléatoire contrôlé », « formes mobiles », « œuvres ouvertes » et « indétermination ». Ajoutons que ces notions répondent à des préoccupations esthétiques fortement divergentes, voire opposées.
Meyer-Eppler déinit les processus aléatoires comme ceux « dont le cours est déterminé dans sa totalité, mais dont les détails individuels dépendent du hasard ». Dans cet ordre d’idées, Witold Lutoslawski utilise l’expression « aléatoire contrôlé » pour désigner, à l’intérieur de partitions de forme ixe, des sections où les interprètes exercent certains choix. La part de liberté accordée au musicien s’accroît à partir du moment où la mouvance relative des prescriptions notées, que l’on rencontre dans les partitions de Luciano Berio ou de Stockhausen, en réaction à l’excessive précision de la période sérielle, se double d’une possibilité de parcours dans l’œuvre. Dans ce cas, la variabilité de celle-ci ne dépend plus uniquement de détails micro-structurels, mais aussi de sa forme générale. Le Klavierstück XI de Karlheinz Stockhausen et la Troisième Sonate de Pierre Boulez comptent parmi les tout premiers jalons de cette démarche. Dans leur cas, une certaine qualité musicale est préservée et la liberté de choix ne s’applique qu’à des réseaux de possibilités minutieusement cernés, qui n’altèrent aucunement l’identité de l’objet musical, les caractéristiques harmoniques ou les proportions temporelles demeurant par exemple inchangées.
Après 1960, plusieurs compositeurs (Henri Pousseur, Luis de Pablo, André Boucourechliev…) se sont intéressés aux éventuels prolongements des tentatives de mobilité ainsi amorcées. Les problématiques se poseront pourtant de manière plus hétérogène que précédemment. Selon eux, pour que l’application de règles mobiles n’apparaisse pas comme un concept « plaqué » artiiciellement, la sémantique de l’œuvre devrait déjà contenir les termes de sa propre variabilité. Ils fonderont dès lors leur rélexion sur le degré de malléabilité contenu dans le matériau mis à l’épreuve. Les Archipels I à V (1967-1970) d’André Boucourechliev constituent des prototypes exemplaires de partitions accomplissant les enjeux de l’œuvre ouverte : « Il y a dans ces œuvres, où tout est noté mais où rien n’est inscrit, à la fois la liberté la plus extrême et paradoxalement la contrainte la plus extrême. Ce qui est noté, c’est d’abord une typologie musicale, des caractères de densité, de rythmes, d’intensités diférenciées, d’attaques, de registres, etc. et cette typologie s’étend, au point de vue de la notation, du plus abstrait au plus concret. À un extrême, on est proche du graphisme et à l’autre on a des structures parfaitement déinies. Entre les deux, une très grande variété de degrés dans la déinition et l’indétermination. En somme dans une structure d’Archipel, j’essaie de rédiger la virtualité ; non pas tous les possibles, mais de prévoir ce que sera le comportement d’une structure livrée à un interprète libre et responsable. »1 De telles problématiques avaient été posées, d’emblée, d’une tout autre manière par John Cage, Earle Brown, Morton Feldman et Christian Wolf. Selon eux, la mobilité ne porte en elle aucune garantie de liberté pour l’interprète tant qu’il n’est question que de combiner des objets temporels inis, de bâtir, à grand renfort de règles de fonctionnement, de gigantesques machineries où tous les éléments sont délibérément mis en rapport les uns avec les autres. Cage considère pour sa part l’acte musical non comme une prise de pouvoir sur le son, sur l’interprète et sur le public, mais comme une manière de laisser une situation être et croître d’elle-même. Se tenir en deçà des principes de détermination permet alors de manifester le matériau sonore tout en sous-entendant l’aspect inépuisable de ses facultés. Et ce devrait bien être là un des atouts majeurs du principe de l’indétermination.
1. Boucourechliev, André, « Les Mal Entendus », La Revue musicale n° 314, Ed. Richard Masse, Paris (1978), pp. 43-44.
Un programme très ouvert
Deux parties composent ce programme, dont la forme fait écho à la notion d’œuvre ouverte née dans les années soixante-dix. L’une présente Domaines, pour clarinette et ensemble, de Pierre Boulez, une partition emblématique du rôle du hasard dans la conception même d’une œuvre musicale. Celle-ci sera jouée de manière assez inédite – et, en fait, au plus près du vœu initial du compositeur, puisqu’on procédera sur la scène à un choix aléatoire, au sens propre du terme, pour déinir l’ordre de succession des diférents moments de la partition. Le clarinettiste de Domaines interpelle en efet l’un après l’autre chacun des six groupes d’instruments en exécutant devant lui les feuillets de sa partition qui correspondent au groupe en question, qui lui répond alors.
La première partie est diférente. C’est un choix d’œuvres qui sont dans l’ensemble des œuvres « ouvertes », mais pas toutes. C’est plutôt la totalité qui est ouverte : on entendra des fragments d’œuvres qui vont apparaître et disparaître, non pas de manière « aléatoire », mais selon une articulation qui laissera place à l’imprévisible, aux rencontres, voire aux collisions. De même, la chanteuse Valérie Philippin ne sera pas seulement l’interprète d’Aria de John Cage, on l’entendra énoncer des bribes de phrases de Stockhausen, par exemple, entre ces diférents fragments.
À l’image de l’« ouverture » globale de cette première partie, des partitions graphiques, souvent d’une grande beauté plastique, comme celle de Dieter Schnebel (Visible Music I), seront projetées sur un grand écran. Interprètes et public feront alors face à un même graphisme et les spectateurs entendront « l’interprétation » qui peut en être faite par les musiciens : une forme d’indétermination, là encore, d’ouverture, proposée par le compositeur, pour une expérience unique à partager. Ce sont des partitions suggestives et non prescriptives, qui induisent un autre rapport à la partition.
Enin, cette part d’utopie de l’espace sonore se projettera également dans la Salle des concerts de la Cité de la musique, qui a été conçue comme spatialement très ouverte, certains musiciens étant très mobiles par rapport aux zones d’intervention qui vont être déinies. En ce sens aussi, il s’agit d’un programme très « ouvert ».
Frédéric StochlD’après des propos recueillis par Véronique Brindeau Pierre Boulez (1925)
Domaines, pour clarinette et ensemble
Composition : 1968.
Création : le 20 décembre 1968 à Bruxelles par Walter Boeykens, clarinette, et l’Orchestre de la RTB dirigé par Pierre Boulez.
Efectif : clarinette solo, lûte, hautbois, clarinette basse, basson, saxophone alto, cor, trompette, trombone alto, 2 trombones ténor-basse, trombone basse, marimba, harpe, guitare ampliiée, 2 violons, 2 altos, 2 violoncelles, contrebasse ampliiée.
Éditeur : Universal Edition.
Durée : environ 30 minutes.
Cette œuvre existe en deux versions, soit pour clarinette seule, soit pour clarinette et ensemble instrumental. La version avec ensemble instrumental est la version déinitive et fut créée en 1968 à Bruxelles.
Domaines représente dans l’œuvre de Boulez un exemple-type de la veine combinatoire et semi-ouverte appliquée aux instruments (cf. par exemple … explosante-ixe…). Sur le plateau prennent place six groupes instrumentaux : A. Quatuor de trombones ; B. Sextuor à cordes ; C. Marimba et contrebasse ; D. Flûte, harpe, basson, trompette, saxophone alto ; E. Hautbois, cor et guitare ; F. Clarinette basse.
Chacun de ces groupes possède sa propre partition, entièrement écrite sous forme de six feuillets pour « l’aller » de l’œuvre (ou : « original ») et de six autres pour « le retour » (ou : « miroir »). Domaines se compose en efet de deux parties de durée sensiblement égale. Au centre du cercle formé par les six groupes, le soliste clarinettiste, ou « protagoniste », qui se déplace sur le plateau. À ses côtés, le chef. Le soliste est pareillement équipé de 6 + 6 feuillets sur lesquels sont écrites les séquences qu’il doit jouer.
À « l’aller » de l’œuvre, le clarinettiste soliste a l’initiative : il joue ses 6 feuillets « original », dans l’ordre qu’il veut. Il se place pour cela devant le groupe instrumental correspondant, et après chacune des séquences, le groupe lui « répond » en jouant sa propre partition. À l’issue de l’aller, c’est le chef d’orchestre qui prend l’initiative de décider selon quel ordre de séquences on accomplira le retour, et au soliste de se plier à cette décision.
Comme on le voit, cette œuvre repose sur un dispositif qui prévoit un dialogue constant du soliste et d’un groupe d’instruments : dialogue qui peut s’efectuer dans les deux sens. Son intense rainement sonore concourt largement à faire de Domaines une des œuvres les plus accessibles et les plus agréables de son auteur.
Valérie Philippin
Biennale d’Art Moderne d’Alexandrie) Pennetier, Georges Aperghis, et vient de sortir avec Kiosk À portée à l’unanimité) puis en Italie avec l’aide avec voix de Georges Aperghis sur pédagogie, elle enseigne le répertoire en soliste avec l’Orchestre l’Orchestre National de France, et crée à développer ses talents éclectiques, Jeunes Chanteurs du Conservatoire à entre autres des œuvres de Franco de l’Ircam depuis la création en 1997 recueil intitulé La Voix, palette sonore Sophie Cherrier
y a également créé Strette d’Hèctor éditions Billaudot. Elle a reçu en 2005 Sophie Cherrier étudie au de l’ARIAM Île-de France pour un livre puis au Conservatoire de Paris intercontemporain Poetry for // dark - / contemporaine – repères, technique à paraître aux éditions Symétries.
(classe de Christian Lardé). Elle entre Frédéric Stochl
Ludovic Lagarde. Directrice artistique en-Provence et au Festival du Marais, conçoit des projets pluridisciplinaires à Paris et à Cologne, ainsi que et harpe d’Ivan Fedele (Adès), Jupiter et La Partition du ciel et de l’enfer d’Olivier Messiaen, l’intégrale des « Compositeurs d’aujourd’hui »). l’Orchestre de Cleveland, l’Orchestre à ses activités d’interprète, Philippe Grauvogel est professeur de hautbois Alain Damiens joue sur clarinettes Alain Damiens
Alain Billard
Philippe Grauvogel
Schoeller ont déjà dédié de nouvelles Japon, la Serena au Chili) et se produit nationaux et internationaux, festivals nationaux et internationaux. aux côtés de Miklós Perényi ou Philippe Grauvogel est amené à jouer Tabea Zimmermann. Il participe au « Projetto Pollini », série de concerts formations lyriques et symphoniques à l’initiative du pianiste Maurizio telles que l’Opéra de Paris, l’Opéra de Radio France. Il se produit également Boulez, Liszt, Nono, Stockhausen, Art of Metal I, II, III (2007-2008) pour l’auteur d’une méthode à l’usage avec Eugène Durif, Litanies, Fatrasies, Charivari, créé à la Cité de la musique Samuel Favre
Jens McManama
éducatives de l’Ensemble en direction Jens McManama donne son premier concert en tant que soliste à l’âge de Pascal Gallois
diplôme national d’études supérieures Claudio Abbado. Il entre à l’Ensemble musicales à l’unanimité avec les Strasbourg en 2006. Jens McManama la musique à la danse, et qui a déjà il donne la première audition française (CNSMDP) depuis 1994. Il participe Dimitri Vassilakis
chambriste, musicien d’orchestre, Jens Dimitri Vassilakis est membre de McManama se tourne également vers l’Ensemble intercontemporain depuis la direction d’ensembles. Il est l’auteur 1992. Né en 1967, il débute ses études musicales dès l’âge de 7 ans violon), Peter Eötvös (pour son opéra premiers prix de piano à l’unanimité (classe de Gérard Frémy), de musique (Centre supérieur de musique au l’Ode à Napoléon de Schönberg ainsi qu’Anthèmes et Anthèmes II de Pierre été la soliste d’Anthèmes II au Festival Son répertoire comprend notamment des Sängers pour harpe solo et Parallèlement à sa carrière de soliste, Karlheinz Stockhausen ou Petrouchka elle est invitée par l’Orchestre de la SWR à interpréter Chemin I de Luciano Conservatoire Municipal W. A. Mozart (Paris 1er) et au Conservatoire de Paris Christophe Desjardins
2004 de l’Académie Charles-Cros pour classique que contemporaine.
Jeanne-Marie Conquer
obtient à l’âge de 15 ans le Premier Frédérique Cambreling
à Paris, où elle est particulièrement soliste avant d’intégrer l’Ensemble en 1976, Israël en 1976 et le Concours Marie Conquer développe des le répertoire de l’alto. Il a élaboré Il était une fois l’alto, Alto/Multiples intention igurent Philippe Boesmans, Messiaen. Il crée à Paris Time and Motion Study II de Brian Ferneyhough le BBC Scottish Symphony Orchestra, et Ritorno degli Snovidenia de Luciano l’Orchestre de Bretagne, l’Orchestre Berio. Présenter, analyser, transmettre National des Jeunes de Catalogne et Berio. Il a également été l’artisan de à l’aiche de festivals internationaux l’amène à écrire des pièces solistes, pour ensembles de chambre (La Folie (Paris), Musikprotokoll (Graz), le Festival d’été du Suntory Hall (Tokyo), Julio Cortázar) dont la création a été un double CD « Alto/Multiples », une à diriger des concerts consacrés à de Clement Power
Pierre Strauch
l’année suivante. Il crée, interprète Ensemble intercontemporain
l’appui de Michel Guy (alors secrétaire monde entier. En résidence à la Cité d’État à la Culture) et la collaboration l’Ensemble se produit et enregistre en Alto
France et à l’étranger où il est invité partageant une même passion pour la par de grands festivals internationaux.
musique du XXe siècle à aujourd’hui. Financé par le ministère de la Culture et Violoncelles
de la Communication, l’Ensemble reçoit Éric-Maria Couturier participent aux missions de difusion, également le soutien de la Ville de Paris de transmission et de création ixées
dans les statuts de l’Ensemble. Placés Flûte
Contrebasse
sous la direction musicale de Susanna Sophie Cherrier Mälkki, ils collaborent, au côté des compositeurs, à l’exploration des Hautbois
Chef assistant
qu’à des projets associant musique, danse, théâtre, cinéma, vidéo et Clarinette
Musiciens supplémentaires
Saxophone alto en mi bémol
Clarinette basse
Trombone
Trombone basse
Guitare ampliiée
Trompette
Trombones
traduisent un engagement profond et internationalement reconnu au Percussion
l’éducation musicale. Depuis 2004, les solistes de l’Ensemble participent Festival Academy, session annuelle de formation de plusieurs semaines Et aussi…
> CONCERTS
VENDREDI 17 JUIN, 20H30
> MÉDIATHÈQUE
MERCREDI 18 MAI, 20H
Ivan Fedele
En écho à ce concert, nous vous
proposons…
Ciné-concert
Johannes Maria Staud
> Sur le site Internet http://
Film de Fritz Lang
Bruno Mantovani
mediatheque.cite-musique.fr
Musique de Martin Matalon
… de regarder un extrait vidéo dans
Ensemble intercontemporain
Ensemble intercontemporain
les « Concerts » :
Jean-Michaël Lavoie, direction
neue Vocalsolisten Stuttgart
Klavierstück V de Karlheinz Stockhausen
Susanna Mälkki, direction
par Maurizio Pollini enregistré à la Cité de
MARDI 31 MAI, 20H
robin Meier, Réalisation informatique
Mauricio Kagel
… d’écouter un extrait audio dans les
> SALLE PLEYEL
« Concerts » :
Ludwig van de Mauricio Kagel par
Ensemble 2e2m
MARDI 3 MAI, 20H
Alexandre Tharaud enregistré à la Cité
La Péniche opéra
de la musique en avril 2005 • Domaines Pierre roullier, direction
Fritz Kreisler
de Pierre Boulez enregistré à la
Dominique Visse, haute-contre
Vincent Bouchot, baryton
Ludwig van Beethoven
l’Ensemble intercontemporain, Pierre
Mireille Larroche, mise en scène
Boulez (direction)
roland roure, décors, installation
Charles Ives Sonate n° 4
Danièle Barraud, costumes
Johann Sebastian Bach Partita n° 1
(Les concerts sont accessibles dans leur intégralité George Antheil Sonate n° 1
à la Médiathèque de la Cité de la musique.) VENDREDI 10 JUIN, 20H30
Hilary Hahn, violon
… de consulter dans les « Dossiers
Guillaume Dufay
Valentina Lisitsa, piano
pédagogiques » :
Portraits de compositeurs du XXe siècle dans Frédéric Durieux
« Repères musicologiques » • La Musique SAMEDI 25 JUIN, 20h
allemande après 1945 dans les « Repères Josquin des Prés
Arnold Schönberg
Robert Schumann
> À la médiathèque
orchestre Philharmonique de Strasbourg
Johannes Brahms
… d’écouter avec la partition :
Czech Philharmonic Choir Brno
Klavierstück V de Karlheinz
Marc Albrecht, direction
Iannis Xenakis
Stockhausen par Aloys Kontarsky •
Christiane iven, Tove
Dix Pièces de György Ligeti par le
Lance ryan, Waldemar
London Winds
Anna Larsson, la Colombe
Schola Heidelberg
Barbara Sukowa, la Narratrice
Walter nussbaum, direction
… de lire la partition :
Albert Dohmen, Bauer
Pascal Pons, percussions
Viola de Bruno Maderna
Arnold Bezuyen, Klaus-Narr
Adam Weisman, percussions
Petr Fiala, chef de chœur
… de lire :
> JEUNE PUBLIC
Création, la musique d’aujourd’hui n’est > ÉDITIONS
pas née d’hier de Patrick Szersnovicz •
MERCREDI 18 MAI, 15H
Écrits de Klaus Huber . Avant-garde
und Vermittlung de reinhard
oehlschlägel • À Bruno Maderna
L’Éternelle Fiancée du Dr Frankenstein
Sous la direction de Christian Accaoui
de Geneviève Mathon, Laurent
Feneyrou, Giordano Ferrari
Sous la direction de Vincent Bessières
224 pages • 2009 • 39 €
Éditeur : Hugues de Saint Simon | Rédacteur en chef : Pascal Huynh | Rédactrices : Gaëlle Plasseraud, Véronique Brindeau | Graphiste : Elza Gibus

Source: http://content.citedelamusique.fr/pdf/note_programme/np_10778.pdf

AnglŲ kalba

2012 m. anglų kalbos egzamino užduotis 1.Read the following extract from a book about English people. Five sentences have been removed from the text. Fill in gaps 1-5 with the missing sentences from A-F. There is one extra sentence that won't fit any gaps.(5 points ) If you look from a helicopter at any English town, you will see that the residential areas consist almost entirely of

Roslyn ross steeler

ROSLYN ROSS STEELER Licensed Clinical Social Worker 425 S. Cherry Street, Suite 645 Denver, Colorado 80246 Telephone: 303-322-1291 EDUCATION: Master of Social Work, June 1981, Michigan State University. Major emphasis in casework with individuals, couples, and families. B.G.S., June 1978, University of Michigan, Ann Arbor. Emphasis in clinical psychology. POST-GRADUATE E

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