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20 septembre 2008 Liste des interdictions 2009 de l’AMA Résumé des principales modifications et clarifications
PARAGRAPHE D’INTRODUCTION
• L’article 4.2.2 du Code 2009 établit qu’« Aux fins de l’application de l’article 10 (Sanctions à l’encontre des individus), toutes les substances interdites sont des « substances spécifiées », sauf les substances appartenant aux classes des agents anabolisants, des hormones, ainsi que les stimulants et les antagonistes hormonaux et modulateurs identifiés comme tels dans la Liste des interdictions. Les méthodes interdites ne sont pas des substances spécifiées. » Afin de refléter les changements du Code, la phrase suivante a été
ajoutée dans la Liste: « Toutes les substances interdites doivent être considérées comme des « substances spécifiées » sauf les substances dans les classes S1, S2, S4.4 et S6.a, et les méthodes interdites M1, M2 et M3.» SUBSTANCES ET MÉTHODES INTERDITES EN PERMANENCE (EN ET HORS COMPÉTITION)
1. Stéroïdes anabolisants androgènes (SAA)
• La nomenclature du prostanozol a été changée pour le 17β-hydroxy-5α-androstano[3,2-c] pyrazole afin de mieux suivre les
règles de l’International Union of Pure and Applied Chemistry (IUPAC).
• L’épitestostérone a été déplacée de la section S5 (Diurétiques et
autres agents masquants) à la section S1 (Stéroïdes anabolisants, stéroïdes anabolisants androgènes endogènes) parce qu’elle est un
isomère de la téstostérone. De cette façon, l’epitéstostérone
maintient sa condition de substance non spécifiée à des fins de sanction.
• L’explication détaillée de la gestion des résultats atypiques de SAA
endogènes a été transformée en un commentaire conforme au format du Code mondial antidopage.
S2. Hormones et substances apparentées
• Afin de refléter l’hétérogénéité des substances en développement
similaires à l’EPO, « érythropoïétine » a été remplacé par « agents stimulant l’érythropoïèse ».
• La LH et la CG sont désormais nommées clairement comme des
gonadotrophines interdites chez l’homme.
• La note explicative à la fin de cette section a été convertie en un
commentaire conforme au format du Code mondial antidopage.
• En conformité avec le Code 2009, la référence aux AUT abrégées a
• Le formotérol, le salbutamol, le salmétérol et la terbutaline inhalés
requièrent une autorisation d’usage à des fins thérapeutiques en accord avec le nouveau Standard international pour l’autorisation
• Une concentration urinaire de salbutamol supérieure à 1000 ng/mL
sera considérée comme un résultat d’analyse anormal, à moins que
le sportif ne prouve par une étude pharmacocinétique contrôlée que
ce résultat est bien la conséquence de l’usage d’une dose thérapeutique de salbutamol par voie inhalée. L’étude pharmacocinétique contrôlée doit être effectuée dans un environnement hospitalier ou un centre de référence pour la
condition médicale concernée, où la/les dose(s) administrée(s) puisse(nt) être rigoureusement contrôlée(s) et la qualité de
S5. Diurétiques et autres agents masquants
• Tel qu’indiqué ci-dessus, l’épitestostérone a été déplacée vers la
• Les inhibiteurs de l’alpha-réductase ne sont plus interdits. Leur effet
masquant a été rendu inefficace par l’examen détaillé des profils stéroïdiens.
• Le mot « administration intraveineuse » accompagne désormais les
exemples de succédanés de plasma albumine, dextran et
hydroxyéthylamidon, pour préciser que ces substances sont
interdites par cette voie d’administration uniquement. Le mannitol a été ajouté comme exemple. L’utilisation du mannitol par inhalation est permise par exemple pour le test de provocation bronchique de
• Il est désormais précisé que les inhibiteurs de l’anhydrase
carbonique, le dorzolamide et le brinzolamide, quand ils sont administrés par voie topique dans l’œil, ne sont pas interdits. Il est
démontré que ces substances n’ont pas d’effet diurétique quand elles sont administrées par voie topique.
METHODES INTERDITES
• Les perfusions intraveineuses sont interdites et requièrent donc une
autorisation d’usage à des fins thérapeutiques, sauf dans le
contexte d’interventions chirurgicales, en situation d’urgence
médicale ou lors d’examens cliniques.
Le but de cette section est d’interdire l’hémodilution, l’hyperhydratation et l’administration de substances interdites par
perfusion intraveineuse. Une perfusion intraveineuse est définie comme l’administration de fluides dans une veine en utilisant une
aiguille ou un dispositif similaire. L’utilisation médicale légitime des perfusions intraveineuses dans les cas suivants n’est pas interdite :
1. Interventions d’urgences, y compris réanimation;
2. Transfusion sanguine résultant d’une perte de sang; 3. Interventions chirurgicales; 4. Administration de médicaments et de fluides quand d’autres
voies d’administration ne sont pas disponibles (par ex.
vomissements réfractaires), réalisée en accord avec les bonnes pratiques médicales, ce qui exclut les cas de
déshydratation provoquée par l’exercice.
Les injections effectuées avec une simple seringue ne sont pas
interdites en tant que méthode si la substance injectée n’est pas interdite et que le volume n’excède pas 50 mL.
M3. Dopage génétique
• La définition du dopage génétique a été modifiée afin de prendre en
compte les avancées technologiques dans ce domaine.
• Les agonistes du récepteur activé par les proliférateurs des
péroxysomes δ (PPARδ) (par ex. GW 1516) et les agonistes de
l’axe PPARδ-protéine kinase activée par l’AMP (AMPK) (par ex. AICAR) sont interdits.
SUBSTANCES ET MÉTHODES INTERDITES EN COMPÉTITION
S6. Stimulants
• Sur la base de l’article 4.2.2 du Code révisé, le Comité Liste a
examiné tous les stimulants nommés dans la Liste des interdictions 2008 et les a classés comme spécifiés ou non spécifiés. Le Comité a pris en considération le potentiel de ces stimulants d’améliorer la performance dans le sport, leurs risques pour la santé, leur
utilisation générale dans des produits médicinaux, leur accessibilité
légitime sur le marché, leur utilisation illicite, leur statut légal/contrôlé, leur historique et leur potentiel d’abus dans le sport, leur métabolisation en amphétamine et/ou métamphétamine, la probabilité d’approbation de leur utilisation à des fins
thérapeutiques, ainsi que leur pharmacologie. Tous les stimulants
non spécifiés sont nommés dans la section S6.a. La section S6.b inclut une liste d’exemples de stimulants spécifiés.
• Avant d’examiner la possible réintroduction de la pseudoéphédrine
dans la Liste, il a été déterminé que davantage d’informations étaient nécessaires, et un projet de recherche a été lancé à cet
effet. En attendant, la pseudoéphédrine reste dans le Programme de surveillance.
• En conformité avec le Code 2009, les références aux AUT abrégées
• En accord avec le Standard international pour l’autorisation d’usage
à des fins thérapeutiques, une déclaration d’usage doit être remplie par le sportif pour l’administration de glucocorticoïdes par voies
intra-articulaire, péri-articulaire, péritendineuse, péridurale, intradermique et par inhalation.
• Aucune AUT ni déclaration d’usage n’est requise pour
l’administration de glucocorticoïdes par voie topique.
SUBSTANCES INTERDITES DANS CERTAINS SPORTS
• Le seuil de violation des règles antidopage pour l’alcool détecté par
éthylométrie et analyse sanguine a été harmonisé à 0.10 g/L pour
toutes les Fédérations internationales.
• A la demande de la Fédération Internationale des Quilleurs (FIQ), la
discipline des Neuf-Quilles a été incluse. Le Comité Liste de l’AMA a également inclus la discipline des Dix-Quilles étant donné que cette
• A la demande de la Fédération Internationale des Quilleurs (FIQ),
l’orthographe de ‘Ninepin’ a été corrigée dans la version anglaise. Le Comité Liste de l’AMA a également inclus la discipline des Dix-
Quilles étant donné que cette discipline fait partie de la FIQ.
• A la demande de la Fédération Internationale de Golf, les béta-
bloquants sont désormais interdits dans le golf.
SUBSTANCES SPÉCIFIQUES
• Cette section a disparu, compte tenu de la nouvelle définition des
substances spécifiées dans le Code révisé. La nouvelle distinction
entre substances spécifiées et non spécifiées est désormais incluse dans le paragraphe d’introduction.
ON MAKING AMMENDMENTS AND SUPPLEMENTS TO THE CRIMINAL CODE OF THE Article 1. In Article 266(5) of the Criminal Code of the Republic of Armenia of 18 April 2003 (hereinafter referred to as “the Code”) and in the Annex thereto, the words “with the Annex” and “Annex” shall be replaced by “with Annex No 1” and “Annex No 1” respectively. (1) part 2(2) and part 3(2) shall be repe
Denial of Information Attacks in Event Processing School of Computer Science, Georgia Institute of Technology Extended Abstract 1. Introduction and Motivation Automated Denial of Information Attacks. It is a common assumption in event processing that the events are “clean”, i.e., they come from well-behaved and trustworthy sources. This assumption does not hold in all major o