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Le rythme normal d’évacuation des selles La constipation
varie beaucoup d’un individu à l’autre :il peut aller de trois fois par jour à troisfois par semaine. Les médecins estimentdonc qu’il y a constipation quand il y amoins de trois selles par semaine maiscela ne correspond pas toujours à ce queressentent les patients. La constipation Quels sont les symptômes
est trois fois plus fréquente chez les de la constipation ?
femmes que chez les hommes sauf après • La constipation peut se traduire par l’émission sans effort 65 ans. Dans l’immense majorité des significatif de selles dures et rares : les selles stagnenttrop longtemps dans le côlon (constipation de transit).
cas, il s’agit d’un symptôme sans • La constipation peut aussi se manifester par une sensation de défécation incomplète : les selles se sontaccumulées dans le rectum et leur émission nécessite desefforts répétés (constipation d’évacuation).
- une anomalie métabolique (augmentation du • Elle s’accompagne souvent de ballonnements et de calcium dans le sang ou baisse du potassium). sensation de pesanteur abdominale et rectale.
- une maladie congénitale du côlon (maladie de Pourquoi est-on
- un cancer ainsi qu’à des causes chirurgicales.
constipé ?
• Le plus fréquemment, la constipation est liée à de Comment prévenir
mauvaises habitudes alimentaires (alimentation pauvre la constipation ?
en fibres et liquides), ou encore au stress, à l’anxiété, à • Adopter une alimentation riche en fibres : crudités, l’inactivité physique, à une modification des habitudes de légumes cuits, légumineuses (lentilles, haricots secs,…), vie (voyage, alitement prolongé). Ces différents facteurs céréales entières (riz, pâtes), pain complet enrichi en son, se combinent souvent l’un à l’autre.
fruits riches en pectine (pommes, poires, pêches, baies), • Les modifications hormonales liées à la grossesse ou à la qui accélèrent le transit. Figues, prunes, pruneaux et ménopause sont également propices à la survenue d’une • Boire suffisamment soit l’équivalent de 6 à 8 verres de • La présence d’hémorroïdes et de fissures anales peut liquide par jour (y compris soupes ou autres mets liquides), aussi en différant le moment d’aller à la selle entraîner • Pratiquer un exercice physique régulier mettant une véritable constipation, créant un cercle vicieux puisque la constipation favorise à son tour la survenue • Ne pas se retenir d’aller à la selle : il faut s’y rendre quand • La prise de certains médicaments peut également être à l’origine d’une constipation : les antidépresseurs etanxiolytiques, certains anti-tussifs, les anti- Quels traitements
inflammatoires, les relaxants musculaires, les diurétiques, pour la constipation ?
certains antihypertenseurs, les produits d’anesthésie,certains suppléments en fer et…les laxatifs eux-mêmes Lorsqu’une constipation se prolonge sans céder à ces mesures quand ils sont utilisés sur de trop longues périodes. simples, a fortiori quand elle s’est déclenchée sans raisonapparente, il faut consulter le médecin. Cette consultation est • Certaines allergies ou intolérances alimentaires impérative si la constipation s’accompagne de sang dans les (notamment au lait de vache) peuvent provoquer une constipation, en particulier chez l’enfant.
Après avoir éliminé une cause nécessitant un traitement • Enfin, la constipation peut être liée à de nombreuses spécifique, ce qui occasionnera, dans quelques cas, la réalisation d’examens appropriés (coloscopie par exemple), - une maladie intestinale (syndrome du côlon irritable, divers traitements peuvent être proposés : obstruction intestinale, diverticulite, lésion du côlon…), - une maladie endocrinienne (hypothyroïdie), • Modification du régime alimentaire en cas de constipation - une affection neurologique (Parkinson, neuropathie • Micro lavements, suppositoires de glycérine, rééducation de la motricité ano rectale par bio feed back en cas deconstipation d’évacuation. • Prise de laxatifs en cas de problèmes persistants : - le plus souvent des laxatifs doux tels que les laxatifs dits de lest augmentant le volume des selles (muci-lages), les laxatifs osmotiques qui aident à garderdavantage d’eau dans l’intestin (lactulose).
- les laxatifs lubrifiants qui ramollissent les selles facilitant ainsi leur évacuation (huiles minérales)peuvent être proposés dans un second temps.
- les laxatifs stimulants agissent par contre directement sur la motricité digestive (phénolphtaléine, bisacodyl,sénosides de séné, huile de ricin émulsionnée). Ceux-ci ne doivent pas être pris sur une longue période (pasplus de deux semaines) : ils entraînent, en effet unphénomène d’accoutumance, avec intestin paresseux,diminution de l’absorption de vitamines, augmentationde l’évacuation du potassium. - il est de toute façon impératif de ne pas s’accoutumer à la prise constante de laxatif qui conduit non seulementà une sorte de dépendance psychologique (on ne peutplus aller aux toilettes sans…) mais aussi empêchel’intestin de fonctionner normalement. Et les médecines
• Le yoga peut donner de bons résultats sur la constipation chronique notamment chez la femme enceinte.
• L’acupuncture pourrait également apporter une certaine • La phytothérapie propose de nombreuses préparations laxatives qui agissent comme les laxatifs de synthèse :Agar agar, gomme de guar, son de blé, psyllium, aloes,bourdaine, nerprun, séné, huile de ricin, rhubarbe.
Attention, certaines préparations à base de plantes sontdes laxatifs stimulants et présentent donc les mêmesdangers. Dans tous les cas, il faut soigneusementrespecter les doses et les modes de préparation.

Source: http://pharmaciedubienetre.fr/fiches/gastro/constipation.pdf

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2003 IJSBA World Finals World Finals Allocations World Finals Classes Each Region (1-12) Motosurf National Tour Note 1 Note 1 Note 1 Note 1 Note 2 Note 4 Note 4 Note 4 Note 4 Note 4 Note 4 Note 4 Note 4 Note 4 Note 4 Note 4 Note 4 Note 3 Note 3 Note 1 14-15 year-o

Dkf200.fm

Journal of Antimicrobial Chemotherapy (2002) 50 , 751–754 DOI: 10.1093/jac/dkf200 Evidence for the efficacy of artesunate in asymptomatic Plasmodium malariae infections Steffen Borrmann1,2*, Nicole Szlezák1,3, Ronald K. Binder1, Michel A. Missinou1,2, Bertrand Lell1,2 and Peter G. Kremsner1,2 1Medical Research Unit, Albert Schweitzer Hospital, Lambaréné, B. P. 118,

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